Cazcom | Vers une autonomie dans la surveillance des maladies animales au Zimbabwe

Résultats & impact 28 mai 2021
Un laboratoire de biologie moléculaire d’envergure internationale, 200 techniciens, ingénieurs et chercheurs formés, 7 étudiants encadrés durant leur master et un nouveau projet de recherche pour amplifier les actions engagées par Cazcom. Voilà en quelques chiffres le bilan de ce projet dédié au renforcement des compétences sur la surveillance des maladies animales au Zimbabwe et financé par le ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères via l’Ambassade de France au Zimbabwe. Découvrez en images les témoignages des bénéficiaires et des acteurs de Cazcom.
Prélèvement sanguin sur une vache réalisé dans la cadre du projet Cazcom au Zimbabwe © A. Jimu
Prélèvement sanguin sur une vache réalisé dans la cadre du projet Cazcom au Zimbabwe © A. Jimu

Prélèvement sanguin sur une vache réalisé dans la cadre du projet Cazcom au Zimbabwe © A. Jimu

Cazcom en quelques chiffres

3 objectifs : renforcement des compétences - développement des capacités techniques en biologie moléculaire - mise en place de systèmes de surveillances efficaces et autonomes pour la surveillance des maladies animales et zoonotiques

2 années de projet

22 formations techniques ont été dispensées (14 de terrain et 8 de laboratoire)

1 formation en e-learning sur l’épidémiologie et la surveillance des maladies animales et des zoonoses

7 étudiants de master encadrés dans le cadre du projet

640 heures de cours dispensées

1 plateau technique de biologie moléculaire de standard international est équipé et fonctionnel au sein de la faculté des sciences vétérinaires de l’Université du Zimbabwe.
Des liens avec les services vétérinaires nationaux renforcés et des collaborations avec des institutions de recherche internationales sont en cours, de même que le développement de partenariat avec le secteur privé.

Une suite avec le projet PACMAN

Cazcom est aujourd’hui complété et intensifié par le programme Pacman. Financé à hauteur de 2 millions d’euros par l’Agence française de Développement, ce nouveau projet prévoit la formation d’encore plus de personnels aux techniques de diagnostic et la transformation du laboratoire de biologie moléculaire en véritable plateforme de biotechnologie. Cela permettra de raccourcir les délais des réponses-actions sanitaires de plusieurs mois à quelques jours lors d’événements épizootiques.

 

La formation, levier incontournable des trajectoires de développement
Il ne peut y avoir de développement sans une capacité autonome de production de connaissances. C’est sur la base de cette conviction que la formation a été définie comme l’une des 4 ambitions du Cirad.
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